Faisant fi de la crise sanitaire, économique et sociale le gouvernement persiste dans sa volonté de faire payer la note du « quoi qu’il en coûte » au monde du travail. Le deux poids, deux mesures devient une règle assumée : d’un côté des aides publiques accordées en abondance sans contrepartie, que les majors de l’industrie utilisent pour financer des plans de licenciement et rémunérer leurs actionnaires, de l’autre la précarisation de l’ensemble des salariés.
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